14.03.2019
Femme levant les bras au ciel avec parapluie

Comment être sûr de pouvoir rembourser son crédit en cas de chômage involontaire, ou d’incapacité de travail ? Il se peut que durant le remboursement de votre crédit vous perdiez votre situation financière pour diverses raisons allant du simple licenciement, à un arrêt forcé dû à un accident ou une maladie.

Pour garantir de pouvoir assurer ses mensualités en cas d’incapacité de travail, il existe plusieurs options. La PPI (payment protection insurance) et l’APG (assurance perte de gain). Nous allons revenir en détail sur ces deux options dans notre article, mais aussi sur les différentes possibilités d'assurances inclues ou non dans le crédit privé.

Les assurances font partie intégrante de notre vie. RC, Lamal, juridique, on s'assure pour notre protection, mais aussi et surtout pour celle de notre famille.

Premièrement à cause des assurances maladies obligatoires pour tous, mais également les assurances responsabilité civile, assurances automobiles, assurances sociales et prévoyance vieillesse. Toutes sortes de garanties existent pour chaque situation. 

Pour garantir de pouvoir rembourser son crédit en cas de perte de revenu, il existe deux options principales que nous allons décrire ici.

 

La PPI c'est quoi ?

La PPI est une option disponible lors de la conclusion d’un contrat de crédit. Elle est libre, ce qui veut dire que c'est vous qui décidez si vous voulez contracter cette assurance, ou non. Vous n'êtes pas obligé d'y souscrire, pour pouvoir avoir votre crédit.

Elle permet, en cas de chômage, de maladie ou d’accident, d’assurer que votre mensualité de crédit soit prise en charge. Si vous choisissez de bénéficier d’une PPI et que vous tombez en incapacité de travail, vos mensualités de crédit seront couvertes dès le 3èmemois suivant l’obtention de votre crédit pour un maximum de 24 mensualités couvertes. A noter qu’il vous sera possible d’être couverts au maximum 12 mois d’affilée (deux fois par exemple, durant la durée de votre contrat).

Pour exemple prenons le cas d’un crédit de CHF 10'000.00 sur 48 mois à 7.9% d’intérêt. La mensualité sans PPI se monte à CHF 242.40.45  par mois, avec la PPI elle ne vous revient qu’à CHF 257.75 soit une différence de CHF 15.35 par mois. Cette différence vous permettrait d’économiser jusqu’à CHF 6186 sur votre contrat en ne vous coûterait qu’au maximum CHF 737 sur la durée du contrat.

Avec cette quinzaine de francs supplémentaires (50 centimes par jour), l'économie qui sera la vôtre en cas de sinistre peut monter jusqu'à CHF 6’186 sur votre contrat en cas d’incapacité de gain, et donc de sauver dans votre porte monnaie.

La PPI est disponible pour la plupart des contrats de crédit chez Milenia, à l'exception des clients indépendants, frontaliers et évidemment rentiers qui ne peuvent pas en bénéficier.

La PPI n'est pas obligatoire, c'est le client qui décide s’il veut en bénéficier ou pas. Néanmoins, elle est fortement recommandée et la plupart des contrats de crédits en Suisse sont désormais assurés par une PPI. 

 

L'assurance perte de gain 

En Suisse, si vous tombez au chômage, vous ne toucherez que 70% ou 80% (si vous avez des enfants à charge) de votre ancien revenu.

Si nous prenons exemple sur un salaire net de CHF 5'000, et que vous n’avez pas d’enfants, vous ne toucherez ainsi plus que CHF 3'500.00 par mois. (ou CHF 4'000 avec des enfants)

Autant dire que cette différence peut s’avérer fâcheuse et ainsi perturber votre budget mensuel et le règlement de vos factures courantes, comme l’assurance maladie, le téléphone, etc. 

Pour pallier à cela, et afin de prévenir d’éventuelles dettes, l’assurance perte de gain Helvetia income Protect permet de couvrir ce déficit de revenu en vous apportant entre 20% et 30%. Avec cette assurance, le client choisi lui-même sa prestation mensuelle, selon ses besoins. 

Nos prestations en votre faveur vont de CHF 500 à CHF 2’000.

Cette assurance vous couvrira ainsi en cas d’incapacité de gain ou de chômage involontaire, selon la prestation que vous aurez choisie auparavant, et dont vous disposerez comme il vous conviendra. Pour plus d’informations concernant les assurances pour les crédits, n’hésitez pas à consulter cet article

Le grand avantage de l'assurance perte de gain, c'est qu'elle n'est pas liée au crédit. En effet, tout le monde peut l'avoir, il suffit d'y souscrire. L'exemple classic qui fait peur aux clients, c'est de prendre un crédit, avec ou sans la PPI (Assurance classique proposée par les banques), et que votre épouse tombe par exemple au chômage. Comme le crédit est au nom de Monsieur, la PPI ne couvre pas la mensualité, puisque c'est Madame qui est au chômage.

Le grand avantage de l'assurance Income Protect, c'est justement de pouvoir la prendre à son nom, mais aussi si on le désire, au nom de son épouse, afin s'assurer le revenu complet de la famille !

 

Les délais et les conditions d'assurance ?

Premièrement, pour pouvoir bénéficier de l’assurance perte de gain d’Helvetia, voici les points importants :

  • Travailler au minimum 30 heures par semaine, depuis minimum 12 mois
  • Ne pas avoir été en arrêt maladie ou accident de plus de 20 jours durant les 12 derniers mois

Une fois le contrat d’assurance signé, il y a un délai d’attente de 3 mois avant que l’assurance soit active.

Une fois ce délai passé, en cas de chômage, il vous faudra encore patienter un délai de 3 mois de carence avant de pouvoir être assuré sur une année. 

Si, malheureusement, vous deviez vous retrouver en arrêt maladie ou accident, vous serez assuré immédiatement, sans aucun délai de carence.

 

Et l'assurance décès, ça coûte combien ?

Les contrats de crédit à la consommation incluent obligatoirement, selon la LCC (Loi sur le crédit à la consommation) une assurance en cas de décès.

Elle couvre le risque de décès suite à une maladie ou un accident.

En cas de sinistre, une prestation sera versée à hauteur du solde de la dette (+ intérêts) et divers frais à concurrence de CHF 100’000 par contrat (ce montant dépend de la banque).

Cette assurance est de toute façon prévue dans le calcul de la mensualité de tous les crédits privés, et n'est pas payable en plus.

En plus simple, cela veut dire que si un sinistre devait arriver, le crédit serait soldé (selon conditions et montants annoncés par la banque), et la famille n'aurait pas de dette à assumer.

 

Alors, Assurance contre le chômage ou PPI ?

En ce qui concerne le chômage, vous ne serez pas couverts si vous vous y retrouver dans les 3 mois suivant le début de l’assurance perte de gain, c’est ce que l’on appelle le délai de carence. 

Il vous faudra ensuite patienter encore 3 mois à compter de la survenance du chômage, c’est le délai d’attente. 

L’assurance chômage propose de nombreux avantages par rapport à la PPI.  

L’assurance chômage n’est pas uniquement réservé au crédit. Vous recevrez une indemnité mensuelle sur votre compte et êtes libres de faire ce que vous voulez avec cet argent. 

D’autre part, vous choisissez le montant de votre couverture, contrairement à la PPI qi elle ne couvre uniquement la mensualité de votre crédit, pas plus, pas moins. 

 

Pourquoi Milenia ?

Nous travaillons avec Helvetia depuis 2018 afin de proposer cette assurance à nos clients et de pouvoir garantir au mieux les mensualités et ainsi d’éviter un maximum l’endettement de nos clients. 

Milenia propose en partenariat avec Helvetia une assurance chômage / perte de gain pouvant couvrir entre CHF 5’00 et CHF 2’000 par mois. 

Vous pouvez remplir votre demande d’assurance perte de gain, sans engagement, ici ou nous appeler au 021 620 60 00 et notre team assurance se fera un plaisir de vous renseigner. 

 

 



Un franc fort et une baisse des prix de l’immobilier à l’étranger. Une opportunité pour investir ?

Les chiffres démontrent deux tendances incontestées : l’euro baisse, le franc est fort et le prix de l’immobilier en France stagne voire diminue depuis quelques mois.

En faisant les bons calculs et en optant pour un crédit, les conditions semblent réunies pour faire une bonne affaire.

 

Parlons taux de change

Nous sommes en 2012 et un franc représente 80 centimes d’euro.

En 2015, le franc dépasse les 90 centimes d’euro.

Avance rapide huit ans plus tard et le même franc dépassent aujourd’hui un euro soit une augmentation de 25% de sa valeur comparative.

En quelques années seulement, le résultat de décisions prises par la banque nationale suisse, les influences macroéconomiques et la résilience comparative aux pays voisins concernant l’inflation et ses effets ont mené à une robustesse du franc à l’égard de l’euro.

Les exportateurs helvétiques souffrent naturellement de ce rapport de force car leurs marchandises ou services coûtent plus cher pour un acheteur étranger, détenteur d’euros. À l’inverse, c’est le bon moment d’acheter des biens valorisés en euros tant le franc a pris de la valeur.

 

Investir à l’étranger ?

Pour un particulier, les tentations sont multiples : l’alimentaire, le vestimentaire, la déco ou le mobilier. Après tout, pourquoi ne pas profiter d’un pouvoir d’achat plus élevé ?

Cependant, voyons les choses en plus grand en nous intéressant à l’immobilier.

Tournons notre regard vers la France, pays voisin qui dispose d’un potentiel de proximité pour votre résidence principale ou qui peut servir de tremplin pour un investissement visant des revenus locatifs. Et pourquoi pas après tout ?

En passant en revue les chiffres communiqués par les principales banques prêteuses et les associations de notaires, en 2023, une majorité de villes voit le prix de l’immobilier baisser.

C’est le cas dans les grandes villes comme Paris. Dans beaucoup de cas, les prix stagnent et dans une minorité des cas, une augmentation de seulement 1% est constatée.

Le nombre de transactions auprès des notaires chute et rien n’indique, à ce stade, une inversion des taux d’emprunts, levier automatique sur le prix d’une maison ou d’un appartement.

Quelles sont les prévisions pour 2024 ? Personne ne peut se prononcer avec certitude. Cependant, bien qu’une relative stagnation récente des taux d’inflation soit admise, une inversion n’est pas prévue et les taux dictés par les banques centrales européennes ne devraient pas baisser à court ou moyen terme ; le risque est trop grand dans un marché qui reste volatil.

 

Mais justement, les taux augmentent !

C’est vrai.

Indéniablement, la hausse des taux directeurs fait grimper les taux hypothécaires.

Vous n’avez qu’à comparer les taux moyens appliqués il y a un an avec aujourd’hui pour le constater.

En Suisse, un taux d’emprunt à 2,5% sur cinq ans est monnaie courante. C’est bien plus élevé qu’il y a deux ans mais lorsqu’on regarde ce taux sur les vingt dernières années, cela reste statistiquement bas. À titre d’exemple, c’est la moitié du taux appliqué en 2003.

Mettez également dans la balance la baisse des prix immobiliers constatée et l’appréciation du franc à l’égard de l’euro ; hausse qui s’inscrit dans la durée depuis plus de dix ans.

Vous constaterez qu’il faut peu pour qu’un investissement immobilier fasse sens.

Encore faut-il trouver l’affaire, négocier et disposer des fonds nécessaires pour votre emprunt.

Tout comme en Suisse, c’est souvent ce fameux capital qui peut bloquer votre projet. Bien que…

 

Milenia : votre partenaire

Acteur majeur du crédit en Suisse, Milenia est votre partenaire de confiance pour tous vos projets immobiliers.

Pas besoin de réaliser un investissement en France pour le savoir ; une cuisine à rénover ? Une piscine vous tente ? Des panneaux solaires comme prochain projet d’aménagement ? Des bornes électriques pour vos véhicules ? Contactez un conseiller Milenia et nous saurons vous guider rapidement pour que vous bénéficiiez d’un prêt personnel équilibré, respectueux de votre budget, aux meilleures conditions du marché.

Votre dossier sera composé avec soin et professionnalisme afin que votre argent soit libéré et versé sur votre compte en toute simplicité.

Revenons cependant à votre projet d’achat en France. Contrairement à un prêt hypothécaire, vous n’avez pas à faire évaluer le bien immobilier par votre banque, vous n’avez pas à justifier des travaux qui encourront, en fait, vous n’avez pas à clarifier d’une quelconque façon l’utilisation des fonds demandés.

Imaginons donc que vous dénichiez un projet financièrement intéressant car le prix de vente a baissé. Le franc reste fort voire continue à augmenter. C’est le moment d’en profiter mais il vous manque un peu de capital.

Imaginons que votre projet est un immeuble de rapport et que les loyers vous permettront de rembourser votre crédit.

Ce serait dommage de manquer cette opportunité, non ?

Prenons un autre exemple, la Belgique. Toujours dans un contexte de projet à rendement. Certes, comme propriétaire qui loue un bien, vous aurez à vous acquitter de diverses taxes mais vous ne serez pas imposé sur les revenus locatifs… Intéressant non ?

 

Brique par brique

Notre cœur de métier chez Milenia est le financement intelligent de vos projets personnels. Étape par étape, acquisition par acquisition, brique par brique… Nous construisons tous notre parcours de vie.

Il se fait que nous avons parfois besoin d’un coup de pouce. La meilleure situation est bien entendu celle d’une indépendance financière, d’une absence de dette ou d’emprunt en cours.

Cependant, force est de constater que les choses ne vont pas toujours comme on le souhaite. L’achat de notre premier véhicule ? Des frais imprévus à couvrir ? Une sous-estimation des impôts à payer ? Des vacances à financer ou un appartement qui a besoin d’être rénové… Bref, il y a mille et une raisons de faire une demande de crédit.

Cet article en a cité une, un projet d’achat immobilier.

Ne vous y trompez pas, un crédit se signe après avoir étudié avec soin votre capacité de remboursement, vos revenus, vos dépenses, votre situation personnelle dans son ensemble.

Mais quand tous les voyants sont au vert et que votre engagement est source d’opportunité et non de risques inconsidérés, avancez sereinement en sachant Milenia à vos côtés.

 

 

 

 

Lire la suite...

Effectuer un emprunt pour l’achat d’un bien immobilier à l’étranger. Tout un programme !

Souscrire à un prêt hypothécaire en Suisse n’est déjà pas une mince affaire. De quoi faut-il tenir compte lors d’un achat immobilier à l’étranger et est-ce possible de le financer en Suisse ?

 

Commençons chez soi

En Suisse, dès lors que vous disposez d’un capital suffisant, il vous est possible d’acquérir un bien immobilier en souscrivant à un prêt hypothécaire.

Nous précisons possible car cela n’est aucunement garanti tant une série de conditions doit être respectée afin que la banque prêteuse dispose des garanties nécessaires.

Il s’agit souvent de calculs qui tiennent compte de vos revenus, de votre capacité de remboursement, de votre âge, de vos antécédents, de vos dettes et, le cas échéant, de la valorisation de vos fonds de prévoyances.

Le raisonnement en Suisse lié aux diverses stratégies d’acquisitions de biens immobiliers est relativement unique en Europe. La logique inversée de remboursement d’intérêts sur une très longue période par rapport au remboursement du capital comme indispensable pour une partie mais non en totalité, peut surprendre si vous venez de pays tels que l’Allemagne, la France ou la Belgique.

Le parc immobilier étant de haute qualité, la demande surpassant l’offre et les loyers étant très élevés, cette configuration peut faire sens pour le résident suisse. Financièrement, dès lors que les taux d’intérêts restent à des niveaux raisonnables, cela peut même être intéressant.

Pour autant, il faut disposer du capital nécessaire pour lancer les démarches. 20% de la valeur du bien pour être exact et cela, en concordance avec la valorisation effectuée par votre banque. Des solutions existent pour compléter un manque de capital par l’utilisation, sous diverses formes, de votre deuxième et/ou troisième pilier.

La Suisse est aussi relativement résilient aux mouvements des taux directeurs guidés par les Etats-Unis et influençant par ricochet les taux d’intérêts européens. Si ceux-ci augmentent, et c’est le cas depuis plusieurs mois, la Suisse ne sera pas épargnée mais cela pourrait se faire plus en douceur que chez certains de nos voisins.

Pourquoi une augmentation des taux d’intérêts ?

La FED, réserve fédérale américaine, utilise le levier des taux d’intérêts pour provoquer une stabilisation voire une baisse de l’inflation impactant, depuis un certain temps maintenant, le prix de l’alimentaire et de l’énergie. Seul problème, les effets d’une hausse des taux sont décalés dans le temps et il est possible, pendant une certaine période, de souffrir et d’une hausse des prix et d’une baisse des investissements, en même temps.

 

Partons voir ailleurs

Chez nos voisins directs, le remboursement de l’ensemble des intérêts et du capital est limité dans le temps. La moyenne se situe entre 20 et 30 ans. Vous êtes donc, en principe, pleinement propriétaire de votre bien avant l’âge de la retraite.

Bien entendu, le prix de l’immobilier, hormis dans certaines grosses métropoles, est inférieur à celui appliqué en Suisse. Les banques n’exigent pas forcément un capital de départ et selon les cas, financent tout le montant de l’acquisition voire même les frais de notaires.

À la différence de la Suisse, les remboursements mensuels peuvent surpassés ce que vous payeriez en loyer. C’est moins fréquent chez nous.

D’accord, mais puis-je financer mon projet d’achat pour une seconde résidence depuis la Suisse ?

La réponse est non, mais…

Non car la vaste majorité des banques s’y refuse. Le risque est trop important car en cas de défaut de paiement, il est plus compliqué de saisir votre bien à l’étranger.

Mais des exceptions sont possibles pour des biens situés dans les zones frontalières. Une banque française basée en Suisse est cependant active sur ce segment et propose dès à présent des solutions de financement pour votre achat de résidence secondaire, en France. La solution est une forme un peu hybride basée tant sur un apport obligatoire que sur un remboursement limité dans le temps.

 

L'aide-mémoire

Disons que les étoiles sont alignées et que vous trouvez une solution de financement pour votre achat de résidence secondaire. Voici un aide-mémoire vous permettant d’anticiper des mauvaises surprises :

- Renseignez-vous sur les frais de notaire du pays concerné. Cela peut passer du simple au triple par rapport à la Suisse

- Faites-vous conseiller par un avocat local qui saura vous guider dans les coutumes légales. Dans certains pays, un accord verbal est déjà un engagement contractuel. Vaut mieux prévenir que guérir.

- Faites-vous accompagner par un traducteur si besoin. Pour le coup, maîtriser la finesse du lexique notarial n'est pas superflu.

- Étudiez les implications en matière d’imposition. La double imposition au niveau européen est en principe évitable mais disposer d’une seconde résidence qui génère des revenus locatifs influencera vos taux d’impositions en Suisse.

- Si vous faites construire, attention à bien vous renseigner sur le code de construction local et l’étendue des responsabilités incombant à l’entreprise générale.

- Si vous investissez dans des pays lointains, attention aux règles en application régissant le principe de propriété. Dans certains pays, vous ne serez que propriétaire temporaire des murs sans être propriétaire du sol.

Et le crédit dans tout ça ?

Bonne question ! Il est vrai que le prêt personnel offre l’avantage de ne pas être affecté à un but précis.

Cela vous permet notamment de compenser un manque de capital en utilisant la somme de votre crédit. Bien entendu, ce type de solution doit être mûrement réfléchi et votre capacité de remboursement, respectée.

Tout dépend de vos fonds et de la valeur du bien ainsi que de vos autres obligations financières. Cependant, la démarche serait rapide, ne nécessite aucune préparation administrative lourde et, en passant par une plateforme de financement telle que proposée par Milenia, vous bénéficieriez aussi de conseils avisés et d’un processus d’établissement de votre dossier répondant aux normes de qualité imposées par les autorités financières en Suisse.

 

Je me lance ?

Les rêves existent pour être réalisés. Attention simplement à éviter le cauchemar. En Suisse, les normes légales et bancaires encadrent assez bien vos démarches. Des options existent mais vous n’échapperez pas aux impositions légales et aux bonnes pratiques bancaires qui sont en place pour limiter la prise de risque pour toutes les parties concernées.

Aussi, en Suisse, nous disposons d’une belle réputation en matière de construction et d’urbanisme. Ce n’est pas forcément le cas ailleurs.

Après, la peur ne doit pas diriger vos choix. Des possibilités existent en zones frontalières, via le Crédit Agricole Next Bank pour ce qui concerne la France, par le biais d’une plateforme de financement pour compléter le capital nécessaire… Simplement et comme toujours, prenez soin de bien vous renseigner, de comparer et de jauger du bon moment pour vous lancer. Continuez aussi à garder un œil avisé sur les taux appliqués, taux qui évoluent sans cesse depuis fin de l’année passée.

Vous avez besoin d’un conseil concernant votre prêt personnel ? Prenez contact avec nous ! On se fera un plaisir de vous conseiller en toute bienveillance et en toute transparence.

 

 

 

Lire la suite...

Taux hypothécaire fixe, variable ou Saron ? Voici quelques explications vous permettant de faire le choix judicieux pour le financement de votre projet immobilier.

Le choix de la formule de taux hypothécaire est essentiel à une bonne maîtrise de votre budget. Divers choix s’offrent à vous. Nous vous guidons à travers ces choix et prenons un instant pour considérer l’option du prêt personnel.

 

Commençons par une simple question : Disposez-vous de fonds propres ?

Oui. Je ne sais plus quoi faire de l’argent à ma disposition.

Se pose alors naturellement la question du besoin de souscrire à un prêt hypothécaire. Tout dépend bien sûr du coût d’achat mais si vos liquidités permettent un achat complet en liquide, quel est l’intérêt de s’endetter ?

La raison est simple, le coût de l’argent est aujourd’hui encore, très bon marché. Inutile donc de vous dépouiller tant les intérêts sont bas. Cela peut faire sens de faire un prêt plutôt que d’investir l’entièreté de vos réserves.

Mais avouons-le, peu d’entre nous ont le bénéfice de cette situation.

 

Oui mais pas assez.

Il vous faudra en effet disposer de fonds propres pour espérer pouvoir accéder à un prêt hypothécaire. Tout comme dans le premier cas, le prix est un facteur déterminant car c’est celui-ci qui définira la somme que vous devrez avancer. Selon les solutions disponibles, il faut tabler sur 20% du montant d’achat ; dans certains cas, cela peut être abaissé à 10%. Votre conseiller saura vous guider dans ce sens.

 

Non.

Cela devient compliqué. Contrairement à nos voisins, le système en Suisse prévoit une contribution minimale obligatoire sous forme de fonds propres. Il est pour ainsi dire impossible d’acheter un bien immobilier si vous ne disposez pas de fonds préalables. La banque ne vous prêtera pas 100% du capital nécessaire.

 

Le prêt hypothécaire comme passage obligatoire ?

Pas forcément.

Si vous avez répondu ‘oui’ ou ‘oui mais pas assez’, l’option d’un crédit personnel est à considérer.

 

Pourquoi ?

Tout dépend bien entendu du montage, du prix d’achat, de vos fonds propres… mais le crédit à la consommation offre l’avantage de disposer rapidement des ressources nécessaires.

Les taux appliqués sont plus élevés qu’un taux hypothécaire mais le montage n’est pas comparable sachant que le remboursement du capital emprunté pour un crédit est amorti plus rapidement. Cela signifie que le coût absolu en durée est en fait bien moindre comparé au cumul de vos mensualités qui, dans le cadre d’une hypothèque, couvrent essentiellement les intérêts et, dans une moindre mesure, le capital.

Selon vos calculs et vos moyens personnels, considérez donc le crédit privé comme une option de financement potentiellement intéressante. Simulez sur une plateforme de financement afin d’avoir une vue claire sur le montant, la durée, les mensualités et le taux.

Cette option ne requiert aucun acte notarié, n’engendre aucun frais et permet une gestion rapide et transparente de votre dossier.

 

Quel type de prêt hypothécaire choisir ?

L’option taux fixe

Souvent activable pour une durée de maximum 15 à 20 ans, l’avantage de ce choix est clairement la visibilité à moyen terme sur vos dépenses mensuelles. Nous remarquons tous que les taux restent bas mais que cela peut et va probablement évoluer à la hausse dans les mois et les années à venir. Une occasion à ne pas rater donc ? Cela semble être le cas.

Si vous êtes plutôt de nature prudente, le taux fixe reste aujourd’hui une option intéressante.

 

L’option taux variable

L’avantage principal réside dans sa flexibilité sachant que vous disposez de plus de liberté au regard des résiliations et des pénalités qui en découlent.

Le désavantage potentiel est évident. Si les taux grimpent et que votre contrat n’est pas verrouillé dans la durée, vous serez potentiellement victime d'une courbe des taux d’intérêts à la hausse. Sachant les montants pour un achat immobilier importants, l’impact sur vos mensualités peut être significatif tant une légère croissance du taux appliqué calculé sur une somme restant due considérable, augmentera le montant de vos remboursements.

Si vous êtes de nature joueur, cette option peut potentiellement réserver de belles surprises. Or la tendance actuelle des taux tend à indiquer que les surprises éventuelles ne seront pas en votre faveur.

 

L’option Saron

Nous parlions dans un précédent article du taux Libor et de son remplacement par le taux Saron.

Cette option reprend le principe d’une durée fixe mais qui varie généralement de 2 à 6 ans.

Le caractère fluctuant du taux est également repris dans cette option et les variations prises en compte sont calculées sur des intervalles allant de 3 à 6 mois.

Il s’agit en quelque sorte d’une forme hybride entre l’option fixe et variable car plutôt fixe dans la durée contractuelle mais variable dans la fluctuation possible du taux appliqué.

 

Le coût absolu

Nous faisions référence au coût absolu ; vos dépenses réelles sur la durée de votre prêt hypothécaire.

Saviez-vous que les frais d’entretien annuels sont parfois supérieurs à votre amortissement ? Cela met en lumière le poids que représentent les intérêts dans votre plan de remboursement.

Le taux d’intérêt a beau être faible, le montant et la durée font que vos dépenses réelles sont plus importantes que l’on imagine.

Bien entendu, un loyer est un coût supérieur et cela permet de contre balancer, du moins psychologiquement, cette forme de financement dont la durée couvre souvent deux générations.

Il faut aussi tenir compte d’une plus-value éventuelle lors d’une revente.

Ceci étant dit, la question se pose autour de la forme du prêt. Un crédit personnel, selon la réalité de votre situation financière et l’opportunité immobilière, peut représenter une alternative non négligeable et intéressante financièrement.

 

Milenia

Plateforme de financement référence dans le crédit aux personnes et aux entreprises, Milenia jouit d’une solide réputation tant auprès de ses utilisateurs qu’auprès de ses partenaires bancaires.

Établie en Suisse, près de Lausanne, l’entreprise est attachée à son ancrage local et travaille en étroite collaboration avec les principaux acteurs financiers du secteur. Des valeurs fortes guident les équipes de Milenia dans l’accueil, le conseil et le suivi de ses clients et des dossiers de crédits qui en découlent.

La personnalisation de votre expérience client est fondamentale ; notamment lorsqu’il s’agit d’entreprendre un achat immobilier. Une telle démarche de votre part nécessite une prise en charge sérieuse, transparente et vouée à la réussite de votre projet.

Comme expliqué ci-dessus, le prêt personnel ne sera peut-être pas la solution à retenir pour votre achat d’appartement ou de maison. Un appel ne vous coûte cependant rien. Un conseil avisé vaut de l’or.

Donc n’hésitez pas à nous contacter ; on sera à votre écoute pour vous guider vers le choix qui fait le plus sens pour vous !

 

 

 

 

Lire la suite...

Vos achats de Noël. 5 bonnes raisons de s’y prendre à l’avance.

Les festivités de fin d’année sont l’occasion de célébrer, de fêter et de partager. Cependant, l’achat des cadeaux n’est pas forcément un moment apprécié de tous. On s'y prend à l’avance ?

 

A l'avance ? C'est quand au juste ?

Au moment où vous lisez ceci. 

Et oui, quelques semaines avant la date fatidique du 25 décembre est un minimum. Alors, faites votre liste, préparez le portefeuille, faites le stock de masques et…. Go !

 

Raison 1 : Vous aurez autre chose à faire en fin d’année que de parcourir les rayons des magasins.

Alors, c’est vrai qu’un sapin bien décoré donne du charme à cette période festive. La décoration de votre habitation, le repas de Noël, les invitations… tout cela fait partie de l’esprit de célébration. Et tout cela prend un temps considérable. 

Vous pensez pouvoir faire quelques petits achats rapides quelques jours ou quelques heures avant le 25 ? Oubliez cela et prenez les devants

Autant pleinement profiter de vos proches le moment venu, sans stress.

 

Raison 2 : La chaîne logistique connaît quelques difficultés. Soyez sûr de trouver ce que vous voulez.

Vous l’aurez peut-être remarqué mais certaines livraisons prennent du retard. Les objets électroniques sont notamment impactés. La raison ? De gros problèmes logistiques rencontrés depuis plusieurs mois maintenant, notamment concernant les produits nécessitant des semi-conducteurs pour fonctionner. 

Si vous voulez viser du high tech, autant s’y prendre à l’avance voire changer d’idée de cadeau car ce sera premier venu, premier servi.

 

Raison 3 : Il faut emballer tout ça !

Qui dit cadeau dit emballage. Soit vous êtes un as du packaging, soit vous êtes comme la plupart d’entre nous, parfaitement incompétent en la matière.

Ne sous-estimez pas cette belle tâche et le temps que cela prend. Offrir un playmobil mal emballé à votre progéniture ne porte pas à conséquence mais le cadeau mal présenté à votre belle-mère risque d’influencer négativement la suite des festivités…

 

Raison 4 : Un petit virus nommé Covid change la donne !

Pas un cadeau en l’occurrence mais plutôt une mauvaise surprise qui nous gêne bien comme il faut depuis presque deux ans maintenant.

L’impact pour cette fin d’année ? Avec la recrudescence des cas, ce ne serait pas étonnant de voir des fermetures anticipées et restrictions imposées.

Prenez les devants, prenez vos précautions, armez-vous du masque et faites vos emplettes, maintenant !

 

Raison 5 : Le prix, les surprises, la solution !

Il y a la liste des cadeaux. La question fut débattue avec votre conjoint et le budget est fixé. Tout le monde à son petit plaisir et vous n’êtes pas à nu à la fin de l’exercice. 

Oui mais en réalité, vous tomberez sur LE cadeau parfait auquel vous n’aurez pas pensé. Vous constaterez qu’il faudra monter en gamme dans certains cas pour ne faire de jaloux. Surtout, vous découvrirez que la liste s’est allongée avec la venue non planifiée d’un oncle ou que vous avez tout simplement oublié votre partenaire (si si, ça arrive…).

Le budget n’est plus celui prévu et la carte de crédit est déjà bien entamée. En plus, le 13ème ou le bonus espéré tarde à être versé ou n’est plus pour cause de résultats en-delà des espérances. 

Sans pour autant vous surendetter, une solution rapide est le crédit. Rapide n’est par contre pas instantané ; une demande se doit d’être analysée avec soin pour que votre prêt personnel soit une réelle plus-value et non un boulet budgétaire que vous traînerez dans la nouvelle année.

Alors, renseignez-vous. Il vous suffit de simuler votre emprunt sur notre plateforme. Vous disposerez des informations nécessaires et vous recevrez une réponse très rapidement ainsi que le versement des fonds alloués sur votre compte dans la foulée.

C’est facile, rapide et simple. Ne vous y prenez juste pas à la dernière minute.

 

La conclusion

Anticiper est la meilleure recette pour vos achats de Noël et Milenia peut être votre lutin afin de réaliser ceux-ci pour faire plaisir à vos proches, à votre famille et à vous-même aussi !

Belles fêtes et nos meilleurs vœux pour cette fin d’année 2021 !

 

 

 

Lire la suite...

Le processus de demande de crédit chez Milenia

Lorsque l’on se lance dans un projet de demande de financement, il est important de ne pas se précipiter. Un dossier pour une demande de crédit nécessite d'être bien préparé. Afin d’obtenir une réponse positive, il doit non seulement être complet, mais également correctement présenté. 

Pas évident quand on ne connaît pas tous les rouages du système. C’est pourquoi il est utile de se faire conseiller dans cette démarche.

En voici les cinq étapes:

Lire la suite...

Bienvenu sur notre blog

Vous voulez tout savoir sur le crédit privé, sur la gestion de votre budget, mais aussi sur vos données privées, vos inscriptions de poursuites ? Notre blog est en ligne !

Lire la suite...