En août 2020, le nombre de chômeurs inscrits auprès de l’ORP (office régional de placement) a encore augmenté. Faisant passer le taux de chômage à 3,3% (contre 3,2% en juillet 2020).
Au même moment l’année dernière, il y avait 52'600 personnes de moins inscrites au chômage (pour un taux de 2,1%), cela correspond à une hausse de 51,8%.
Les jeunes sont les plus touchés :
Le nombre de jeunes de 15 à 24 ans sans emploi a augmenté de 13,7% entre juillet et août. Tout cela équivaut à un taux de chômage de 3,9% chez les 15 à 24 ans.
Les jeunes sont plus touchés notamment car ils n’arrivent pas à trouver un emploi après leur apprentissage ou leur formation.
Il est toutefois « normal » qu’il y ait un bond si important de jeunes sans emploi entre juillet et août 2020 car cela coïncide avec la fin des formations scolaires et apprentissages. Cette augmentation n’a jamais été aussi importante depuis plusieurs années.
Les 50 à 64 ans sont les « moins touchés » par cette crise, l’augmentation annuelle se monte à 45,2%.
Sur le plan national, les régions suisses-alémaniques affichent un taux de chômage en août 2020 de 2,8% contre 4,3% pour la Suisse romande et le Tessin. D’autre part le taux de chômage chez les étrangers (possesseurs de permis de séjour) se montait à 5,5% contre 2,4% pour les suisses.
Ces chiffres coïncident étonnement avec les taux de débiteurs en suisse.
Un taux de chômage virtuellement à 20% ?
Grâce au chômage partiel dont ont pu bénéficier les entreprises, le taux de chômage n’a pas atteint un seuil trop élevé. Il a été estimé qu’environ 20% de la population active se serait retrouvé au chômage sans de telles mesures prises par la Confédération.
Mieux vaut prévenir que guérir :
Si vous vous retrouvez au chômage, vous ne percevez que 70% ou 80% (si vous avez des enfants à charge) de votre ancien revenu.
Prenons l’exemple avec un salaire net de CHF 5'000, sans enfants, vous ne toucherez plus que CHF 3'500.00 par mois (ou CHF 4'000 avec des enfants)
Autant dire que cette différence s’avère vite problématique et perturbe votre budget mensuel et donc le règlement de vos factures courantes, comme l’assurance maladie, le téléphone, etc.
Pour contrer cela et éviter d’accumuler des dettes, l’assurance perte de gain Helvetia income Protect permet de couvrir ce déficit de revenu en vous apportant entre 20% et 30% de votre revenu. Avec cette assurance, le client choisi lui-même sa prestation mensuelle, selon ses besoins.
Nos prestations en votre faveur vont de CHF 500 à CHF 2’000 par mois.
Cette assurance vous couvrira en cas d’incapacité de gain ou de chômage involontaire en fonction de la prestation que vous aurez choisie auparavant, et dont vous disposerez comme il vous conviendra.
Autre avantage de l'assurance Income Protect, c'est justement de pouvoir la prendre à son nom, mais aussi si on le désire, au nom de son épouse, afin d'assurer le revenu complet de la famille !
Les conditions pour bénéficier de l’assurance chômage :
Premièrement, pour pouvoir bénéficier de l’assurance perte de gain d’Helvetia, voici les points importants :
- Travailler au minimum 30 heures par semaine, depuis minimum 12 mois
- Ne pas avoir été en arrêt maladie ou accident de plus de 20 jours durant les 12 derniers mois
Une fois le contrat d’assurance signé, il y a un délai d’attente de 3 mois avant que l’assurance soit active.
Une fois ce délai passé, en cas de chômage, il vous faudra encore patienter un délai de 3 mois de carence avant de pouvoir être assuré sur une année.
Si, malheureusement, vous deviez vous retrouver en arrêt maladie ou accident, vous seriez assuré immédiatement, sans aucun délai d’attente.