06.11.2024

Le bien-être au travail

Votre bien-être compte. Dans le monde professionnel, certaines initiatives peuvent faire la différence.

Le monde professionnel a radicalement évolué depuis le début du 20ème siècle. Les métiers ne sont plus les mêmes, l’organisation du travail en tant que tel a radicalement changé, le cadre légal a été transformé, les compétences nécessaires pour effectuer des tâches sont aujourd’hui fondamentalement différentes et les collaborateurs ont une approche au travail qui est bien plus complexe qu’avant.

Cette approche inclut aujourd’hui des facteurs liés au principe d’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle (work-life balance). 

La flexibilité des horaires, la gestion des vacances, la politique sociale de l’entreprise, les avantages en nature, le télétravail etc… 

La question du bien-être au travail est donc devenue un facteur majeur pour un candidat dans le choix de son employeur et dans son degré d’investissement personnel.

Nier cela est contraire aux intérêts des collaborateurs et potentiellement risqué pour la santé d’une entreprise qui se veut moderne et agile. 

La motivation : indicateur clé du bien-être

La motivation, le taux d’engagement, le niveau d’implication… tout est lié et sert d’indicateur du bien-être ressenti.

Après tout, quelle que soit la fonction occupée, le type de produit fabriqué, la nature du service rendu… la qualité finale du travail accompli va souvent de pair avec son propre état mental, son bien-être et la motivation ressentie à effectuer une tâche dans les meilleures règles de l’art.

Quels sont les trois principaux ingrédients, hors rémunération et avantages divers, qui nous poussent à nous surpasser ?

Le niveau de compétence 

Disposer des compétences vous permettant d’effectuer vos tâches est essentiel.

Sans cela, un sentiment de frustration et un manque de confiance pourraient survenir.

Il va de soi qu’une entreprise devrait avoir à cœur d’accompagner ses équipes dans la formation continue et donc œuvrer au développement des compétences de ses collaborateurs. 

Les technologies progressent, les besoins des clients évoluent, on travaille souvent à distance, les compétences en communication sont particulièrement nécessaires pour naviguer un monde professionnel exigeant et changeant.

Chez Milenia, nous encourageons les équipes à travailler ensemble, à partager l’expérience acquise, à se former et nous investissons continuellement dans de nouveaux outils permettant à chacun d’atteindre la qualité visée.

Le degré d’autonomie 

Disposer d’un degré de liberté à participer à son propre processus décisionnel. 

Être en mesure d’exercer une influence sur son environnement et ne pas être « micro managé ». 

Il s’agit du deuxième ingrédient visant à soutenir l’engagement personnel, la motivation.

Chez Milenia, chacun remplit une fonction déterminée et suit des lignes directrices permettant à l’ensemble de performer ; cela, au bénéfice du client.

Or, chacun peut aussi s’exprimer, proposer, décider et même contester un ordre établi.

Dès lors que les valeurs de l’entreprise sont respectées, chacun peut faire entendre sa voix et peut influencer le chemin pris par son équipe, son département, l’entreprise.

Le sentiment et le besoin d’appartenance 

On peut aussi parler de sens ou de résonance. 

Lorsqu’on maîtrise sa fonction, lorsqu’on se sent suffisamment autonome… le sens donné à ses actions, la mission de son entreprise et notre rôle dans sa réalisation deviennent également primordiaux. 

Nous souhaitons tous participer à une cause que l’on pourrait qualifier de noble ou à un projet qui impacte positivement la vie d’autrui.  

Nous voulons faire partie d’une équipe et être reconnu pour qui nous sommes et pour ce que nous contribuons. 

En découle un sentiment d’appartenance qui décuple notre motivation intrinsèque.

Chez Milenia, nous faisons du crédit personnel.

Ce n’est évidemment pas une activité dédiée au développement d’œuvres caritatives, ce n’est pas un don de soi ou un service qui rendra le monde entier meilleur.

Cependant, nous dépassons les considérations biaisées en mettant au centre de notre action l’objectif d’exercer une influence positive sur la vie de nos clients. 

En respectant l'éthique, en communiquant clairement, en respectant strictement les lois qui régissent notre activité et en soutenant nos clients dans la réalisation de leurs projets, nous croyons pouvoir influencer positivement et durablement les parcours de vie de nos fidèles clients.

 

Mais tout cela est-il du bien être ? 

Cela représente une partie de l’équation.

On doit aussi considérer l’aspect santé et la qualité matériel de son environnement.

Plus simplement :

  • L’accessibilité du lieu de travail
  • La qualité de l’infrastructure 
  • L’accès à la lumière naturelle dans son espace de travail
  • La performance des outils informatiques
  • La qualité de son poste de travail en matière ergonomique
  • Le rythme et la charge de travail
  • Le type de management
  •  


On ne doit pas non plus sous évaluer la question de la rémunération et des autres avantages sociaux.

  • Le salaire 
  • L’éventualité d’un système de prime 
  • La politique en matière de télétravail 
  • Des avantages en matière de congés
  •  


Seuls, les points détaillés ci-dessus ne suffisent jamais à garantir du bien-être.

La question des compétences, de l’autonomie et de l’appartenance reste fondamentale et parfois supérieure aux questions de rémunération et de cadre de travail. 

Bien évidemment, bien que l’on parle d’équilibre vie professionnelle et vie privée, il s’agit au final d’une seule ‘vie’.

Si le bien-être n’est pas acté dans l’espace personnel, le bien-être au travail sera par conséquent affecté également.

 

Est-ce donc la responsabilité de l’employeur ?

C’est une question qui fait débat dans certains cercles.

Il est probablement utile de faire la différence entre bien-être et bonheur. Le bonheur n’est pas de la responsabilité d’un employeur. C’est un sujet fondamentalement personnel et ancré dans son passé, son présent et dans ses propres perspectives. 

Le bien-être ou plutôt les initiatives prises par l’employeur pour créer un environnement psychologiquement sûr où il fait bon vivre – travailler est une responsabilité assumée à des degrés variés.

Comment comparer les moyens pour y parvenir d’une entreprise comme Google avec ceux d’une start-up composée de 5 collaborateurs ?

Et pourtant, certains diront qu’ils ‘vivent’ mieux leur carrière dans la start up plutôt que chez Google…

N’est-ce pas justement là l’indicateur qui prouve l’importance du bien-être dans une entreprise ?

 

Votre crédit

Le bien-être est ce que nous souhaitons aussi vous faire ressentir lorsque vous établissez votre dossier de prêt personnel.

Vos projets méritent une attention accrue et un service qui maximisera vos chances d’acceptation dans le cadre d’un crédit responsable et équilibré.

Que ce soit pour votre maison, votre véhicule, un voyage ou un mariage… nos équipes sont à votre disposition pour aider au financement de vos projets.

Alors n’hésitez pas à calculer vos mensualités sur notre plateforme de financement et à prendre contact avec votre conseiller personnel !

Milenia, à vos côtés. 

 



Exemple de calcul: emprunt de CHF 10'000. Un taux d’intérêt annuel effectif entre 4.9% et 11.95% et une durée de 12 mois engendrent des intérêts totaux entre CHF 261.80 et CHF 624.80. Durée: 6-120 mois; Taux d'intérêt annuel maximum (y compris tous les frais du crédit) 11.95%. L'octroi d’un crédit est interdit, s'il entraîne le surendettement du consommateur. (Art. 3 LCD)

 

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